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En ce mois d’octobre, dédié au cancer du sein, il est important de rappeler que le travail peut avoir un impact positif dans la guérison d’un salarié atteint d’un cancer.
En effet, 80% des salariés reprennent leur activité professionnelle dans les deux années qui suivent leur diagnostic et, 20 % continuent à travailler pendant leur traitement.
Certains salariés, si leur état de santé le permet, souhaitent continuer à pratiquer leur activité professionnelle durant leur traitement.
👉C’est le cas pour environ 20 % des salariés atteint d’un cancer en France.
Nombreuses sont les raisons qui poussent un employé à continuer de travailler :
✅ Préserver son équilibre
✅ Continuer de mener une “vie normale”
✅ Avoir des liens sociaux pendant la maladie
✅ Garder le moral
✅ Etc
C’est pourquoi, l’entreprise et, plus particulièrement l’employeur, a donc pour mission d’accompagner ses collaborateurs.
✅ Former les managers de proximité et les ressources humaines à la thématique “cancer et travail”
✅ Permettre de libérer la parole et de ne plus faire du cancer un “tabou” (groupe de discussion, aide psychologique en cas de décès d’un collègue…)
✅ Aménager le poste et/ou le temps de travail du salarié concerné afin de lui permettre d’être maintenu en emploi pendant la durée de son traitement
✅ Accompagner le travailleur lors de son retour en emploi après une longue absence en trouvant des solutions adaptées (réadaptation des horaires, de la charge de travail, des tâches, etc.)
✅ Proposer un rendez-vous de liaison en cas d’arrêt d’au moins 30 jours
✅ Rappeler au salarié qu’il peut bénéficier d’une visite de pré-reprise (en complément de la visite de reprise) afin d’anticiper au mieux son retour vers l’emploi
Pour plus d’informations, retrouvez le dossier spécial Cancer & travail de Agir Magazine (n°108).
